La santé sexuelle et reproductive est le dénommé du projet lancé, mardi 30 mai 2017 par l’ONG Afia mama avec l’appui financier de médecin du monde France, la manifestation a eu lieu dans la salle polyvalente du ministère de la femme, famille et enfant.

En effet, ce projet comporte 3 volets à savoir: le volet communautaire, medical et plaidoyer. Il sera executé d’abord dans 5 zones de santé notamment kingabwa, kisenso, police lemba et selembao. Le projet santé sexuelle et reproductive vise la catégorie des jeunes dont l’âge varie entre 10 et 24 ans.

Selon bienséance njangu chargée des projet SSR(santé sexuelle et reproductive)le projet a comme mission de diminuer dans la mesure du possible le risque lié aux avortements et aux IST(infections sexuellement transmissibles)et d’accroitre l’accés des jeunes au service de soin de santé appropriée dans les zones péripheriques.

le projet part d’un constat selon lequel la tranche d’âge des jeunes filles de 15 à 19ans ont une fecondité très élevée et a peu près de 27 pour cent d entre elles ont déjà commencé leur procreatif.

Pour la directrice executive de ama le choix d cette cible se justifie par le fait que les jeunes filles et garçons de 10 à 24 ans sont tres actifs sexuellement.

Ce qui ne leur permet pas à fournir d’efforts et contribuer à leur propre developpememt et celui de leur pays la République Démocratique du Congo ( RDC). Si on ne met pas attention à eux aujourd hui a t elle dit, dans 10, 20ans  on aura une categorie de la population non informée,

le coordonnatrice du programme SSR medecin du monde Anisa Bouachkia qui a loué ce partenariat entre Afia mama et médecin du monde France ,elle  a aussi soutenu que Afia mama  va aussi renforcer la capacité de medecin du monde (mdm) dans sa présence au niveau de la  mobilisation communautaire car Afia mama (ama) dispose d’une experience importante du terrain ici a Kinshasa mais également à l’est de la République démocratique du congo.

Elle est une organisation des jeunes, une organisation feministe dans laquelle chacun se retrouve avec cette approche de droit pour defendre le droit de jeune à la santé sexuelle.

Lors des échanges, plusieurs questions ont été abordé et les participants ont émis le voeu de voir les parents parler de sexualité à leurs enfants et cela sans tabo pour éviter non seulement le risque lié à la pratique de rapport sexuel non protégé mais aussi des grossesses non desirées.

Laetitia Ngwadi/communication Afia mama

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